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3 pièges à éviter lors de la location d’un kot étudiant en Belgique

Vous êtes sans doute à l’heure actuelle en quête d’un kot étudiant pour vous-même ou votre adolescent qui va bientôt quitter le nid familial ? Sachez que dans les villes où sont situées les universités de Belgique, la présence de kots est légion. Cependant, même si les offres sont bien là, il convient tout de même de devenir criblé de dettes. Suite à l’expérience que ma sœur a eue avec sa fille qui est rentrée à l’UCL en septembre, j’ai décidé de vous faire part de notre retour et de nos conseils. Voici de précieuses recommandations afin de ne pas commettre certaines erreurs lors de la location d’un kot en Belgique.

Cas d’erreurs possibles lorsque vous vous apprêtez à louer un kot en Belgique

Il est vraiment capital de rester prudent lorsque vous souhaitez louer un kot étudiant. Bien que nous ne soyons pas tombés dans une escroquerie quelconque, nous avons toutefois rencontré d’autres problèmes. Je vous conseille donc de bien suivre mes astuces pour ne pas commettre de grossières erreurs au moment de la location du kot !

Se méfier des annonces de kots à louer alléchantes

Vous vous rendez d’abord sur une offre de kot avec des photos sublimes, de grands espaces décrits de façon précise et magnifique, un prix défiant toute concurrence… Attention, ceci est une arnaque ! Eh oui, ce sont bien des critères qui doivent tous vous alerter avant de passer un coup de fil au propriétaire. Voici donc quelques points importants à retenir :

  • Un kot à louer parfait et idéal à un prix ridicule, ça n’existe pas. Ne faites donc pas confiance aux annonces de kots séduisants situés dans des quartiers classes et modernes : arnaque, arnaque et arnaque!
  • Si vous contactez le propriétaire, ce dernier vous demandera de verser la caution en avance sur son compte via Western Union. Ou comment voler l’argent de quelqu’un alors qu’aucun kot ne sera proposé au final par après et que la personne en question habite dans un pays lointain et vous manipule à distance !

Restez donc vigilant même si les arnaqueurs ne manquent pas d’imagination pour tenter de vous escroquer.

Sous-estimer les coûts de la location du kot

Songez bien à regarder attentivement l’annonce et la description du kot. Il est généralement déterminé le montant mensuel. Vous devez avoir préétabli le loyer que vous êtes prêt à payer en tout et pour tout ! Eh oui : le loyer du kot et les charges associées (eau, gaz, électricité, téléphone, etc.) sont deux choses distinctes. Additionnez les deux et vous constaterez que la somme d’argent déboursée tous les mois sera bien plus élevée. Globalement, un kot en colocation coûte moins cher qu’un simple kot individuel. Gardez bien cela à l’esprit si vous souhaitez faire attention à vos dépenses. C’est justement cette erreur que ma sœur a commise lorsqu’elle a loué un kot pour ma nièce. Prudence donc !

Chercher un logement étudiant sans vérifier son accessibilité

Vous devez vérifier cet aspect du kot mis en location en premier lieu ! La position géographique du kot à louer a des conséquences importantes sur le déroulement de la vie d’étudiant. C’est une fois que l’étudiant doit se rendre en cours qu’il peut regretter son choix : la distance entre l’université et le kot peut parfois être grande.

Néanmoins, ce n’est pas toujours un souci : ces kots à louer sur le campus d’Alma à Woluwe-Saint-Lambert sont situés donc il n’y a pas ce problème de distance. Néanmoins pour des logements étudiants tels que ceux à Namur ou à Liège, ceux-ci ne peuvent pas toujours avoir un emplacement proche des universités. Ces villes historiques ne permettent pas toujours d’avoir un kot situé tout près de son campus. Il vous suffit de vérifier la localisation du logement via GoogleMaps. Vous verrez ainsi quel itinéraire devra être empruntépour se rendre aux cours mais aussi quels commerces sont situés à proximité du kot.

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