Je ne sais pas pour vous, mais moi ça me désole de ne plus profiter de mon jardin dès octobre. A supposer une arrière-saison exceptionnelle, le soleil continue à se coucher de plus en plus tôt, inexorablement. Or, j’investis tellement de temps (et d’argent) dans mes espaces verts que j’ai toujours trouvé dommage de ne plus apercevoir tel massif taillé ou mes pas japonais une fois le soir tombé.
Mon mari ne comprenait pas mon envie de vouloir profiter du jardin à partir de la maison, à savoir l’illuminer. Dommage lorsqu’on a tant d’ouvertures, de baies vitrées donnant sur l’extérieur. Certes, il pouvait concevoir le principe mais pas la dépense ! « Hé, ce n’est pas Versailles, chez nous ! »
Il est vrai que l’éclairage représente un poste important dans le budget, et éclairer son jardin peut sembler dérisoire. Accessoire, dirons-nous.
Or, nous nous sommes rendus récemment chez des amis, qui avaient investi en éclairage LED extérieur il y a quelques mois. Quel régal pour les yeux! On s’imagine les lampes LED donnant une lumière assez froide, blanche. En réalité, l’éclairage LED pour éclairer et mettre en valeur ses aménagements extérieurs offre une lumière chaleureuse valorisant au mieux un buisson ou la façade d’un abri de jardin.
Un professionnel en LED vous conseille la meilleure solution
Vous manquez d’imagination ou avez peur de vous tromper ? N’hésitez pas à demander à un installateur de luminaires LED pour l’extérieur de vous conseiller sur les luminaires : applique murale, projecteur, borne, spot,…Nos amis ont élaboré leur projet d’éclairage avec un professionnel, et ce fut un véritable échange. Les occupants des lieux savent quels angles de vue ils ont de chaque fenêtre, ou de leur terrasse, et ce qui vaut la peine d’être mis en valeur.
Une économie d’énergie non négligeable
Imaginez : près de 85 % de consommation en moins qu’un éclairage traditionnel ! Le remplacement de ses ampoules et spots par du LED vaut vraiment la peine ! Argument complémentaire : le LED a une durée de vie impressionnante, en moyenne 50 000 heures. Ce qui signifie que si vous prévoyez un éclairage avec minuterie, qui s’éteint lorsque vous vous couchez, par exemple, vous n’éclairez que quelques heures par jour…faites le compte !
C’est ce dernier argument qui a convaincu mon mari de reconsidérer la question ! Ca tombe bien : J’ai un tas d’idées… !